Et le combat se poursuit !

Et le combat se poursuit … La guerre est en cours et la guerrière se donne à fond. La bataille est plus difficile que prévu, mais on rajoute du gaz dans la machine et le Capitaine fait bien ça. Il tient l’équipage et la barre du navire à bout de bras. Toujours la tête haute, il est alerte et à l’écoute de la guerrière. Il se renseigne sur les conditions météo et balai les obstacles qu’il trouve sur sa route. Il est en action. Il est fort. Il est admirable. Il le fait pour elle, avec elle.

Un éclair a déstabilisé son navire … qui l’aurait cru. Lui non plus ne l’avait pas prévu. Tout était tellement facile, parfait. La preuve qu’on est à l’abri de rien. Lorsque l’orage éclate, en un clin d’œil la vie se transforme en un long corridor d’angoisse, d’incertitude et d’inconfort. Tu n’y peux rien alors tu t’accroches à de petits riens; un sourire, un mot, un geste, un calin tout croche, et tu espères et tu découvres qu’espérer veut dire attendre quelque chose pour accomplir un souhait ! À ce moment, tu apprends à apprécier et à provoquer de petits bonheurs.

Alors c’est ça que le capitaine fera c’est pourquoi il reste droit et a décidé de défier la vie et de réunir à nouveau le duo de petites sottes, elle sa guerrière et son autre, celle qui pousse le bateau dans le même sens que lui, avec lui. Ça va faire du bien au moral des sottes d’être réunis et quand le moral est bon, tout va mieux, le combat est plus facile et il le sait lui et c’est ce qu’il veut pour elle. Elles n’iront pas courir 10 km, mais elles vont faire … de toutes petites affaires, il sourit en se disant qu’elles vont probablement juste se regarder dans les yeux, se tenir par le menton et … elles poufferont de rire et le Capitaine sera heureux, car sa guerrière sera heureuse.

Le Capitaine est un homme bon, généreux et têtu et sa guerrière est solide. Un p’tit 100 livres de courage et de force incroyable. Elle est magnifique et pleine de poudre de fée donc, tout doucement, au bras de son beau Capitaine, elle franchira les obstacles, un pas à la fois, jusqu’à ce qu’ils trouvent, ensemble, la faille et à ce moment … la guerre ne sera que souvenir, et le bateau reprendra son parcours !